Afin d’éviter que les catalogues des grandes sociétés de production françaises soient achetés par des entreprises qui ne sont pas tenues, en l’état du droit, à une obligation de recherche d’exploitation, comme les fonds d’investissement, le projet de loi prévoit des « dispositions relatives à la protection de l’accès du public aux œuvres cinématographiques et audiovisuelles ». Rappel de la procédure mise en place.
De quoi terrifier TF1, M6 et France TV, autant que Netflix, Amazon ou Disney
On ne l’avait pas forcément pressenti mais, à lire ces chiffres, l’AVoD et les FAST s’apprêtent à déferler sur le paysage audiovisuel, à la façon