Le Figaro, Les Echos, Le Parisien et Le Monde. C’est dans les quatre grands quotidiens nationaux et, signe des temps, via son compte Instagram, que Salto a lancé le 14 octobre la campagne conduisant à son lancement le 20 octobre, conçue par l’agence TBWA, moyennant un premier budget de 622 K€ bruts (source : Kantar Media). Si Twitter, dès le 15 octobre, est allé plus loin dans les détails du service, les premiers messages permettent de parfaitement résumer le territoire revendiqué par le service :
- la priorité donnée par le service aux créations inédites françaises (« jamais diffusés en France»),
- « En exclusivité»,
- … Ou à défaut en avant-première (« avant tout le monde»).
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En forme de démonstration par la preuve, ces messages se retrouveront sous forme d’annonces entourant la diffusion de programmes phares des maisons mère de Salto : Demain nous appartient, sur TF1 ? Possibilité rappelée par un « carton » d’en voir les deux épisodes suivants en avant-première sur Salto ; L’amour est dans le pré (M6) ? Idem ; Plus belle la vie (France Télévisions) ? Idem…
« Il sera possible de promouvoir au travers de TF1, des chaînes de Frances Télévisions ou de M6 l’ensemble des programmes inédits qu’offrira Salto », affirme son directeur général Thomas Follin.
Sauf rebond de dernière minute, la filiale commune à France Télévisions, M6 et TF1 démarrera son activité sans distribution par des tiers, donc en pur OTT.
Au 19 octobre, en milieu de journée, le site salto.fr mentionne sa disponibilité « sur ordinateur, tablette, smartphone, et TV connectée », mais ne donne pas de précisions sur les environnements qui permettront d’y accéder.