Depuis l’annonce de ses premières pertes d’abonnés, les marchés infligent à Netflix une sévère correction boursière. Celle-ci touche également ses principaux concurrents qui présentent pourtant des chiffres de recrutements nets qui restent largement positifs au premier trimestre. Les investisseurs semblent se désintoxiquer progressivement de cet indicateur pour questionner la rentabilité du modèle économique du streaming payant, après une longue période marquée par le « quoi qu’il en coûte » en matière d’investissements dans les contenus. Les groupes de médias traditionnels entendent le message et promettent de dépenser mieux plutôt que plus.
L’audiovisuel français en attente de double clarification
De la même façon que les élections législatives n’ont pas totalement apporté la « clarification » qu’Emmanuel Macron évoquait pour justifier la dissolution, c’est dans un paysage