Les conventions passées par le CSA avec Amazon Prime Video, Disney+ et Netflix prévoient le fléchage d’une partie de leur contribution à la production audiovisuelle vers l’animation, le documentaire et le spectacle vivant. Les niveaux retenus sont contestés par les professionnels. Ils semblent avoir été pensés en fonction du poids des trois sous genres dans les usages.

Les obsessions du député Charles Alloncle et la surprise NRJ
« Ceci n’est pas le procès de France Télévisions, nous ne sommes pas un tribunal, nous ne sommes pas des juges, ni des acteurs de la politique