Les conventions passées par le CSA avec Amazon Prime Video, Disney+ et Netflix prévoient le fléchage d’une partie de leur contribution à la production audiovisuelle vers l’animation, le documentaire et le spectacle vivant. Les niveaux retenus sont contestés par les professionnels. Ils semblent avoir été pensés en fonction du poids des trois sous genres dans les usages.
De quoi terrifier TF1, M6 et France TV, autant que Netflix, Amazon ou Disney
On ne l’avait pas forcément pressenti mais, à lire ces chiffres, l’AVoD et les FAST s’apprêtent à déferler sur le paysage audiovisuel, à la façon