Depuis l’annonce de ses premières pertes d’abonnés, les marchés infligent à Netflix une sévère correction boursière. Celle-ci touche également ses principaux concurrents qui présentent pourtant des chiffres de recrutements nets qui restent largement positifs au premier trimestre. Les investisseurs semblent se désintoxiquer progressivement de cet indicateur pour questionner la rentabilité du modèle économique du streaming payant, après une longue période marquée par le « quoi qu’il en coûte » en matière d’investissements dans les contenus. Les groupes de médias traditionnels entendent le message et promettent de dépenser mieux plutôt que plus.
De quoi terrifier TF1, M6 et France TV, autant que Netflix, Amazon ou Disney
On ne l’avait pas forcément pressenti mais, à lire ces chiffres, l’AVoD et les FAST s’apprêtent à déferler sur le paysage audiovisuel, à la façon