Depuis le 1er avril 2020, les sites internet doivent obtenir le consentement des internautes français pour déposer des cookies tiers sur leur terminal. Ceux qui refusent constituent une audience plus difficile à cibler avec des publicités adaptées. Après s’être mis en conformité avec ces règles édictées par le Cnil, les éditeurs français vont devoir trouver comment commercialiser cette audience sans consentement. Ils anticipent un impact négatif sur leurs recettes mais cherchent d’autres modes de ciblage. En 2022, est programmée la fin des cookies tiers sur le navigateur Chrome de Google. Les acteurs français craignent que ces modifications du marché de la publicité en ligne les pénalisent et renforcent la position dominante des GAFA qui sauront s’en accommoder.
L’heure de la retraite pour la chronologie des médias ?
Signe symbolique du bouleversement que le streaming a entraîné, il semble finalement que les professionnels signeront au cours des prochaines jours un nouvel accord sur