Le 27 mai, les abonnés à Salto ont été les premiers en France à pouvoir visionner « Friends, les retrouvailles », le programme événementiel qui réunissait les comédiens de la série mythique ; le 24 septembre, la plateforme mettait en ligne les 24 films de James Bond… à quelques jours de la sortie en salle du 25e opus, Mourir peut attendre (le 6 octobre). Mais alors que la première opération apparaissait parfaitement coordonnée avec TF1, l’un de ses trois actionnaires, l’arrivée de 007 sur Salto a été quelque peu éclipsée par sa mise en avant quasi-simultanée sur la plateforme d’un autre actionnaire du service, France Télévisions.
L’audiovisuel français en attente de double clarification
De la même façon que les élections législatives n’ont pas totalement apporté la « clarification » qu’Emmanuel Macron évoquait pour justifier la dissolution, c’est dans un paysage