Au cours des dernières semaines, les polémiques qui ont entouré la diffusion de Frenchie Shore par MTV et Paramount sont venues rappeler les limites que l’application du principe du pays d’origine posait aux régulateurs nationaux. En matière d’intervention sur le contenu des antennes. Une note de l’Observatoire Européen de l’Audiovisuel[1] permet également d’en évoquer les conséquences en matière d’exposition des productions européennes. Les conséquences sont tout aussi tangibles s’agissant de publicité. Les dispositions relatives aux obligations de contribution à la production audiovisuelle ou cinématographique sont les seules à y déroger, au bénéfice du principe du pays de destination. Les niveaux que la France a posés sont sans équivalent dans l’Union.

Le Mea Culpa d’un automobiliste ciné et série-phile
L’ardeur d’une conversation produit parfois des mots qui vont au-delà même de ses propres convictions, mais qu’on ne peut plus effacer dès lors qu’ils ont